Fiche d'identité
« Identité & informations de base. »
Nom complet : Mannovai Netem Iris Drogo Vedalken
Sexe : Gros... Euh Masculin quoi...
Race : Galarien
Âge : 32 ans
Profession : Scientifique, savant, bricoleur, récupérateur, chineur, brocanteur...
Vaisseau : Il en avait un. Aujourd'hui, il est dans les secteurs en pièce détachés, vendu.
Grade, rang : Aucun
Groupe : Indépendantiste
« Description plus étoffée. »
Caractère : Vedalken est extravagant. Comme tous Galariens, c'est une pile, il est surexcité sans arrêt. Quasiment amoureux de ses créations, il parait très émotif, et à fleur de peau. Ses buts et envies se sont volatilisés en même temps que sa Quarienne, mais cela pourrait changer avec son retour à la civilisation, et la remontée de son passé d'informations surprenantes.
Physique : Grand, Maigre, presque malingre, Alken à la peau noire et les épaules légèrement voutés. Musclé mais pas outre mesure, son corps montre que c'est quelqu'un d'extrêmement tendu, nerveux, plus que les autres Galariens.
Biographie :
Ce Galarien courrait dans les entrailles de son vaisseau pour 1000 raisons, la moitié étant particulièrement flou et ténébreuses, parmis les portions dénudés de l'électronique, de la mécanique et de l'informatique du bâtiment. Évitant adroitement les câbles suspendus en dehors de leurs protections en métal, poussant les tas de bric et de brocs qui le gênaient, il courrait comme un dératé, criant à tout vas un nom.
- Twiiiink ! Sale garnement, où es-tu ? Twiiiiink ! Vite ! Viens voir Papa petit chenapan, ce n'est pas le moment de faire des bêtises !S'arrêtant à un carrefour, Vedalken regardait à droite, puis à gauche, et enfin tout droit. Dans ce véritable dédale qu'était cette poubelle intergalactique, difficile de trouver un être d'un peu moins de 150 centimètres et fluet. Un être fait de métal qui plus est, et donc parfaitement à son aise et camouflée dans ce vaisseau, sa maison. Regardant son Omnitech qui lui transmettait certaines données reçu par son vaisseau, Alken comme il aimait qu'on l'appel, soupira. Passant une de ses mains sur son visage pour essayer de se concentrer, il entendit un bruit au loin, à sa gauche. Reprenant aussitôt sa course, il s'empressa de crier.
- Twiiiiiink ! Mon petit, tu es là ?C'était bien son petit qui était là. La petite créature relava sa tête, acceptant ainsi laisser la poubelle avec laquelle il jouait. C'est avec quelques détritus sur sa tête qu'il regarda son père. C'était un robot, une IA, et ses préoccupations et sentiments, ou pseudos-sentiments, n'étaient surement pas les même que les êtres humains. Twink pencha sa tête tel un hibou tout en avançant lentement vers son créateur. Ses yeux, où ce qui lui servait d'appareil de vision en tout les cas, étaient grands et envoûtants. Un subtil mélange de jaune, rose, violet et bleu donnait l'impression qu'une nébuleuse vous contemplait. Ouvrant la bouche, le petit robot rompit le charme de l'instant.
Sa voix était perçante, presque plaintive, et son dépit de parole était impressionnant. Le pire était qu'il parlait un langage que seul lui et son créateur comprenait. Une combinaison de dialectes turiens, galariens, volus, elcors, et terriens. Rajouter à cela ses bruits ou sons d'animaux, et vous obtenez une mélodie très agaçante. Enfin, pour Alken, elle ne l'était pas, agaçante, cette voix ou mélodie. Il adorait sa créature comme un père adore son enfant. Chapardeur, joueur, un peu naïf, et très curieux, Twink était une IA évolutive à durée de vie limité. Au bout de 7 ou 8 ans, il s'éteindrait. Le Galarien avait conçu un virus, qu'il intégrait dans chacune de ses IA. Ce virus corrompait, ou plutôt, développait le code de ses IA, de façon à ce que chacune d'elle soit unique. Pour l'instant, aucun problèmes n'étaient survenu, le virus fonctionnait à merveille, et Twiink se portait comme un charme. Il allait bientôt avoir un an. Un grand jour d'ici peu.
- Broualalilotchipipiapiapiatititiniiiih OuutiniiihLa voix plaintive de Twink ramena le scientifique et concepteur à la réalité. Il fallait se dépêcher et cacher Twink, à tout prix. Ils venaient d'être abordé par un vaisseau qui ne s'était pas identifié. Sans aucun doute des pirates, ou des contrebandiers. Ou peut-être ses clients. Vedalken essayait tant bien que mal de subsister dans les systèmes terminus depuis plusieurs années. Depuis le départ de Daene en fait...
La Quarienne était repartit sur la flotille après plus d'une décennie passé avec lui. Du moins, elle avait dit qu'elle retournait auprès des siens, mais rien n'était moins sur. Ensemble ils avaient été heureux. Un bel et solide amour platonique, passé autour de biome, de forme de vies, d'instruments scientifiques et de lectures jusque tard le soir. Mais voilà, tout conte de fée à une fin, et celle là avait été particulièrement brutale.
Courant à travers les couloirs escarpés du vaisseau, Twink dans ses bras tel un bébé de quelques mois, Alken courrait à en s'en décrocher les poumons. Son cœur tambourinait contre sa poitrine, mais il n'en avait cure. Il allait mettre Twink non loin de la cale où il rangeait ses trois dernières créations, mais à bonne portée de ses dernières, au cas où. Il savait très bien qu'il y avait peu de chances pour que le petit robot lui obéisse à la lettre, mais tant pis, il allait devoir composer avec.
Ouvrant une chambre vide de tout occupant et où la poussière s'était accumulée, il posa là Twink. S'agenouillant pour plonger son regard dans celui de son petit, il lui parla calmement, chose rare pour un Galarien, et encore plus pour Alken.
- Tu écoutes papa attentivement d'accord ? Tu restes là, tu ne fais pas de bêtises, et papa revient bientôt te chercher. Quoiqu'il arrive tu ne sors pas, d'accord ? T'es un gentil fiston. La petite machine tante bien d'émettre quelques paroles plaintives, mais il se résolut à rester là, contemplant de ses grands yeux aux couleurs chatoyantes son père, créateur, et univers. Il n'avait pas connu grand chose de plus que Alken pour être exact. Twink était intelligent, il savait tout de l'électronique, de la mécanique, de l'informatique, des systèmes de sécurités. C'est lui qui avait quasiment démonté tout le vaisseau, pour ensuite effectuer quelques arrangements. Ses petits bras, deux bouts de métal pointus en forme de demi-lune, pouvait se transformer selon ses besoins. Cela demandait de l'énergie, mais c'était un précieux atout. En cas de danger, il pouvait même les faire tourner à grande vitesse, dans l'espoir de forer ou couper la cause du danger. Mais on pouvait pas dire que Twink était un garde du corps accomplit et utile. C'est donc pourquoi Alken préférait le cacher et traiter avec ces pirates. Fermant électroniquement la porte, tout en priant pour qu'elle le reste, le Galarien repartit vers la passerelle, tout en réfléchissant.
Au bout de quelques minutes, un Turien à l'air patibulaire, un sourire malfaisant sur le visage croisa son chemin. Le militaire ou ancien militaire plaqua Vedalken contre un mur du vaisseau.
- Tiens donc, voilà notre ami tête d'ampoule ! Je suis venu voir le matos, tu te rappelles ? Tu me montres où faut que je cherche tout seul ? Tremblant comme une feuille, parvenant à peine à parler, Vedalken mena le Turien et ses deux comparses qui venaient d'apparaître , jusqu'à la cale. Ce n'était pas exactement comme cela qu'il avait imaginé la rencontre, pas du tout comme cela...
Arrivé à destination, il entra le code d'ouverture de la cale. La lourde porte en métal se déplaça lentement, soulevant moult poussière, pour laisser apparaître une pièce immense et vide. Vide à l'exception de trois immenses silhouettes qui se trouvaient dans un coin de la pièce. Identiques à peu de choses près, ses trois créatures de métal, de rouages, et d'électronique, étaient déconnectés. Sur leur poitrine, en lettre d'or, était écrit leurs noms. Colossus, Cyclope, et Cataclysme. Des noms pas franchement commode, mais adapté à leur silhouette. Mesurant bien 280 centimètres, quasiment autant de large, ces monstres semblaient pourtant inoffensif. Dans les bras de Morphée, ils faisaient plus penser à de grosses peluches qu'a autre chose.
- Impressionnant... Active les. - C'est à dire que... Ils ne sont pas prêt voyez-vous... - Quoi ?! Sale immonde crapaud, tu m'as mentis ! Je devrais te tuer pour avoir oser me faire venir ici sans rien à me montrer ! - Mais je ne vous ait pas fait venir ici voyons je... - Silence ! Active les ou je fais sauter ton vaisseau ! - Ils ne sont pas prêt, ce serait une très mauvaise idée... - Fais ce que j'ai dis !
Résigné, le malingre scientifique se résolut à activer, Colossus, le seul des trois à être terminé et contrôlable. L'IA des autres était trop violente, réactionnaire et limité pour qu'il ose les activer. Le virus avait peut-être fait des siennes, il n'y pensait pas et ne voulait pas y penser...
C'était remettre en cause tout son travail que de remettre en cause son virus, qui était pour lui la seule chose capable de limiter les IA tout en leur laissant leur caractère et leurs propres caractéristiques et capacités... Il avait quasiment passé un tiers de sa vie là dessus.
Huit longues années que nuits après nuits, jours après jours, il luttait d'arrache-pied contre les obstacles que l'adversité mettait en travers de sa route. Tout cela dans un seul but : recouvrer l'amour de son âme-sœur. Pianotant sur son omnitech, répondant aux questions et protocoles de sécurités qu'il avait lui même mit en place, Vedalken réveilla le géant, le golem, Colossus. Ses yeux de saphir se mirent à briller tandis qu'il contempla le lieu de sa naissance. Jaugeant avec lenteur les individus présents son regard se posa finalement sur son père et créateur. C'est les yeux plein de larmes et d'amours que ce dernier lui son regard. Alors le colosse ouvrit la bouche, et parla. Son timbre de voix était grave et chantant, comme venu des entrailles de la terre. On aurait dit un Elcor, tant il parlait lentement.
- OuuuahBrrrrooouuuah - Magnifique... Tout simplement ma-gni-fi-que...Le Turien se rappelait à tous et brisait ce moment unique. S'approchant de la machine, il dû lever la tête pour contempler la tête de Colossus. De sa main droite, il effleura le métal aux reflets d'obsidienne. Après quelques secondes, il se tourna vers le savant, son pistolet pointé en sa direction.
- Programme le pour qu'il m'obéisse, ou je te tue.A peine eut-il prononcé ses mots que l'énorme machine se mit en branle. Ses vibro-moteurs soulevèrent avec peine, mais néanmoins rapidement, ce qui lui tenait lieu de bras, et le projetèrent en direction du Turien. Celui-ci fit un vol plané pour venir s'encastrer dans un des murs de cale. Ses deux sous-fifres tentèrent bien de réagir, mais là encore, l'énorme bras du colosse les en empêcha. En une fraction de secondes, les problèmes d'Alken avait empiré. Mais surtout, son bébé ne lui voulait que du bien. Malheur et bonheur ne font qu'un parait-il. Lui intimant l'ordre de venir, le Galarien demande à Twink de mettre le vaisseau en marche, tandis qu'il allait lui même vers le poste de pilotage. Colossus le suivait, courbé pour se pas se cogner et détériorer le vaisseau. Ses pas lourds et immenses faisait trembler le sol. Ils allaient devoir changer de vaisseau, sans aucun doute.
Le vaisseau du Turien quand à lui s'était mit en position de tir. Dans un dernier élan, Alken cria.
- A la Citadeeeeeeeeelle... Twiink !Traits distinctifs : Une peau très foncé et des yeux qui semblent transmettrent des émotions complètement différentes que celles fournis par son corps. Il est le seul à comprendre le langage de ses fils et créations bien que ces derniers comprennent plusieurs langues et dialectes.
« Équipements & combat. »
Armes : Twink et Colossus
Armure : Colossus
Spécialité : Biotique bien qu'il ne l'est pas encore découvert ( quelques faits étranges qu'il n'a même pas remarqué ). Scientifique
PS : l'avatar arrive très prochainement.
Sujet: Vedalken, bricoleur à ses heures 
Mer 28 Sep - 20:13
Tu as l'air d'avoir le don de te foutre dans la merde, bienvenu au club o/
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