Zai se rendit dans le quartier ou se trouvait la Villa Des Plumes. Le quartier avait l’air extrêmement luxueux mais étonnamment calme. C’était une grande place ou les villas de quelques élites remplacées les immenses immeubles habituels. On était en pleine après-midi le soleil chauffé agréablement les écailles du Drell. Si il avait choisis l’après-midi c’est parce que le quartier était quasiment vide, il avait déjà dut passer discrètement un barrage visant à protéger le quartier de la « populace indigne » et sa présence se ferait vite remarquer si il croisait quelqu’un. De plus la lumière artificielle qui éclaire le quartier la nuit est au moins aussi lumineuse que le soleil.
Zai’ arriva devant la villa, sur un écriteau était gravé Villa Des Plumes –Tilsia. Sûrement l’architecte se dit le Drell et passa discrètement sur le côté du mur qui entourer la villa. Il désactiva l’alarme de détection du mur pendant quelque seconde juste le temps de passer. Il fut stupéfait par la beauté de l’endroit, il venait d’atterrir dans un grand jardin parsemé d’eau et de relief. Le drell resta figé quelques instants à observer la beauté du jardin, l’odeur des fleurs envahissait son corps et le bruit de l’eau son esprit.
Il ne pouvait hélas rester là plus longtemps, il prit le chemin de la villa mais trois gardes jouaient avec leurs omnitechs devant la porte. Zai emprunta une petite allé situer sur la gauche de la villa. Un garde était posté devant l’allé dos à l’assassin. Le Drell patienta quelques minutes mais cela devenait trop long et le garde rester là. Zai avança vers le pauvre garde, lui craqua la nuque d’un seul geste et accompagna le garde dans sa chute afin qu’il ne fasse pas de bruit. Le garde était un jeune humain d’une quinzaine d’année. Zai l’observa quelques instant, il avait les yeux bleu et les cheveux brun bien qu’au premier regard on lui aurait donné une vingtaine d’années, les traits de son visages prouvés le contraire. Le Drell lui ferma les yeux jura et adressa une prière aux dieux
- Eh merde ! qu’est- ce que tu foutais la gamin ! Kalahira, déesse des océans et de l’au-delà accueille cet enfant dans ta clémence...
Zai’ cacha le corps et poursuivit son chemin, il y avait comme une grille d’aération au sol. L’assassin fit un scan rapide, celons son scan, la ventilation menait bien à l’intérieur de la villa. Il prit quelques minutes à désactiver le système de sécurité et descendit dans la ventilation. Il y faisait très froid, trop froid, les écailles du Drell s'hérissés sur son corps. Il regrettait la douce chaleur du soleil extérieur. Au bout de quelques minutes à ramper, il atterrit dans une espèce de stock. Il commença à scanner la villa quand un méca passa en face de lui, il se cacha derrière quelques caisses. Zai’ espérait qu’il n’y en ait que quelques un mais son scan repéra au moins 18 méca et 12 gardes.
- Eh merde y devait pas y avoir de méca. Bremya vous me recevez ?
- Ici Sofia un soucie ?
- Ça grouille de méca ici dit Tirnia et à Taurus de pirater leurs systèmes et de se tenir prêts à désactiver les méca si j’en donne l’ordre.
- Affirmatif.
Zai’ se faufila derrière le méca et monta les escaliers, d’après le plan donné par le scan il devrait traverser huit pièces avant d’atteindre un balcon donnant sur le salon. Salon dans laquelle, celons son scan thermique se trouverais se trouverais la cible. Il passa la première pièce une grande cuisine suréquipée. Puis entra dans une espèce de salle d’attente ou se trouvait quelques belles chaises des tableaux holographique et une table basse. Il y avait des verres pleins su la table et des bruits de pas se dirigeant vers la porte provenaient de l’autre pièce. Le Drell activa son camouflage optique. C’était un servant accompagnée de deux gardes, l’un des deux parties vers le stock et l’autre commença à parler avec la servante.
- Pia t’a dit de faire tout ce que l’on voulait !! alors tu vas te mettre à genoux !!
- Mais laissez-moi s’il vous plaît…
- Ta gueule et obéi !
Le garde la frappa pour la soumettre, Zai était bloqué, tant que le garde et la servante rester là il ne pouvait pas ouvrir la porte. Alors que le garde mis la servante au sol Zai’ apparu derrière lui et lui brisa la colonne vertébrale. La servante regarda le Drell sans osait parler, il prit alors la parole.
- Fait le disparaître et profites en pour disparaître avec.
- Oui et eux merci …
- Je n’avais pas le choix il me bloquer ici.
Zai’ mentait il l’aurait aidé de toute façon mais il sait que cela est dangereux et que ça pourris un jour tout faire louper et lui coûter chère. La servante traina comme elle put le garde mort dans une chambre adjacente. L’assassin continua son chemin il traversa deux couloirs et un bureau, sans encombre. Il lui restait trois pièces à passer. La sixième pièce était une petite salle à manger avec quelques meubles classes, des tableaux holographiques, quelques chaises et une table. Deux gardes étaient assis et mangeait en rigolant sur la paranoïa de Pia et sue le fait qu’ils étaient payé à rien faire. Qu’ils aillent dirent sa à leurs deux collègues … La porte était ouverte, avec son camouflage optique l’assassin pu passer sans avoir à affronter les gardes. La pièce suivante était un corridor qui devait normalement mener aux balcons. Mais la portes séparant le corridor du balcon était bloquée et une bandes holo avec marqué « En maintenance » l’encadré. Zai consultât son omnitech celons les plans il pouvait prendre un escalier sur la droite pour arriver directement dans le salon. Cela était risqué, mais Zai’ n’avait pas d’autre choix. Il descendu l’escalier et entra dans le salon.
Il entraperçu le visage de la cible à travers des plantes. Caché derrière ces plantes il scrutait la pièce mais ne voyait aucun garde. Il sortit son fusil mais les plantes l’empêcher d’avoir un angle de tir correct. Il devait forcément sortir de sa cachette et il serait obligatoirement découvert, mais il n’avait pas le choix.
L’arme épaulée il sortit de sa cachette face à l’Asari, elle était nue au bord d’un petit bassin, ses pieds trempaient dans l’eau. Elle leva la tête vers le Drell, surprise, puis compris qu’il s’agissait de son assassin. Elle regarda Zai’ d’un regard plein de désespoir, des larmes coulèrent sur son visage. Zai culpabilisa, l’espace d’un instant son âme pris le dessus sur son corps. Rare était les cibles sans défenses qu’il avait éliminé face à face et rare était les cibles à le faire hésiter, c'était la première. Il visa la poitrine, tira, l’Asari s’effondra à genoux, fixa les yeux de son meurtrier puis tomba en arrière dans le bassin. Zai alla voir sa cible, elle était là, étendue dans le bassin. Des fleurs violettes et bleus flottaient en surface et l’entouraient. Le Drell se pencha vers le bassin, les poissons du bassin vinrent près de l’Asari. L’odeur environnante de l’eau, des fleurs et des poissons ainsi qu’un délicieux parfum artificiel envahi l’esprit de Zai. Pia leva son bras, caressa le visage du Drell et chuchota.
-Merci…
Zai fut surpris mais il n’eut pas le temps de demander quoi que ce soit que l’âme de l’Asari avait déjà quitté son corps. Il ferma les yeux de l’Asari adressa une prière.
Kalahira, déesse des océans et de l’au-delà enveloppe la douce âme de cette Asari dans l’océan éternel.
Il se releva, il était perdu, déphasé, il ne comprenait pas ce qui venez de se passer. Il scruta la pièce du regard, elle était magnifique, un dessin interpella, c'était une sorte de signature apposée au mur il pris un photo sur son omnitech copia les données de l'ordinateur personnelle de l'asari et disparu…